Banque Populaire officialise la prolongation de son partenariat avec la Fédération Française de Voile (FFVoile) pour quatre ans supplémentaires, soit jusqu’en 2024. «Partenaire de la FFVoile depuis 20 ans, la Banque de la voile l’accompagnera donc jusqu’au Jeux Olympiques de Paris qui célèbreront 24 ans d’aventures communes. En cette période économique instable, cet engagement montre que la voile est un sport qui offre à ses partenaires des opportunités exceptionnelles», précise le communiqué.
Au-delà de son partenariat institutionnel, Banque Populaire soutient depuis l’an 2000 les équipes de France de voile ; des événements de la fédération (257.406 licenciés) ; le développement de la pratique de la voile dans toutes ses disciplines. Dans ce cadre, Banque Populaire a mis en place un dispositif de co-financement de matériels à destination des clubs et des écoles françaises de voile : elle a ainsi contribué depuis 20 ans à la dotation de 63.000 gilets de sauvetage, 6.900 voiles, 207.000 textiles et au développement de plusieurs séries de flottes collectives, soit plus de 700 bateaux complets.
EN BREF
• Team New Zealand victime d’une escroquerie. Après une affaire d’espionnage, les déboires s’enchaînent pour Team New Zealand. Le vainqueur de la dernière Coupe de l’America se dit victime d’une escroquerie. «Nous avons directement contacté la police en charge des fraudes, qui a travaillé minutieusement avec la police belge et Interpol. Nous avons pu récupérer une partie de l’argent. Nous avons été victimes d’escrocs, nous ne savons pas qui ils sont, la police non plus», a expliqué Grant Dalton, le patron de l’équipe néo-zélandaise. TNZ aurait été victime d’une arnaque en voulant payer un de ses fournisseurs en Europe et a perdu la trace de l’argent transféré sur un compte en banque en Hongrie. La situation inquiète jusqu’au gouvernement. Les autorités du pays pointent du doigt «la mauvaise organisation structurelle et financière» de TNZ, ainsi que «sa réticence à partager les informations et sa gouvernance défaillante».