Après que son directeur général, Marc Loison, ait été mis en examen dans le cadre des affaires de faux billets de la Coupe du monde, ISL Worldwide envisageait de prendre le contrôle à 100% de sa filiale française. La firme suisse ne contrôle, en effet, que 49% des parts de sa filiale, les 51% restants étant détenus conjointement par Marc Loison et Didier Forterre, le président d’ISL France. Mais, ce dernier ayant également été mis en examen, les discussions sont devenues plus tendues entre la direction internationale et sa filiale française. Au point qu’aujourd’hui, ISL Worldwide fait machine arrière et envisage purement et simplement de se séparer de ses 49%. Mais, dans ce cas, ISL France – qui changerait probablement de nom – perdrait la tutelle de la maison-mère… et donc sans doute de précieux contrats. A suivre…