Le sprinter canadien Bruny Surin poursuit en justice, pour rupture de contrat, la firme LifeMark Health Management, dont il était le porte-parole.
L’ex-champion du monde avait signé avec LifeMark, en 2000, un contrat en vertu duquel il se faisait le porte-parole officiel de la société de Toronto, qui est l’un des fournisseurs officiels de l’équipe olympique canadienne. Il devait toucher 40.000 dollars par an, lors des deux premières années du contrat, puis 20.000 dollars annuellement au cours des deux suivantes.
Cependant, en novembre 2001, LifeMark a stoppé cette collaboration.
Le sprinter demande à ce que LifeMark honore la totalité de son contrat arguant du fait que l’accord ne prévoyait nullement que la société puisse y mettre fin unilatéralement. Il souhaite que lui soit versé 63.333 dollars, soit la somme qu’il lui restait à recevoir au moment de la rupture de contrat.