– JO 2018 : Pyeongchang a fait «de gros progrès». La présidente de la commission dévaluation du CIO, la Suédoise Gunila Lindberg, a estimé au dernier jour de sa visite, que la candidature de Pyeongchang à lorganisation des JO dhiver 2018 avait fait «de gros progrès» après deux échecs. «Nous avons vu de gros progrès», a-t-elle commenté après quatre jours dinspection des sites et dauditions des responsables de la candidature. Pyeongchang, battue par Vancouver pour lorganisation des JO 2010 et par Sotchi pour ceux de 2014, est candidate pour la troisième fois consécutive contre Annecy (France) et Munich (Allemagne). Le dossier sud-coréen, qui avait été le mieux noté déjà pour les JO de 2014, est «mieux préparé» que par le passé de laveu de ses promoteurs. La commission, qui a visité Annecy il y a une dizaine de jours et se rendra à Munich a partir du 1er mars, rendra son rapport le 10 mai, plus dun mois et demi avant le vote des membres du CIO, le 6 juillet à Durban (Afrique du Sud).
– Possibles problèmes dapprovisionnement en eau à Rio en 2016. Rio de Janeiro, ville hôte des jeux Olympiques en 2016, pourrait être confrontée à des problèmes dapprovisionnement en eau lors de lévènement selon une étude, a révélé il y a quelques jours le quotidien Folha de Sao Paulo. Selon ce rapport, transmis au gouvernement brésilien par le fournisseur privé délectricité Light, lagglomération de Rio est trop dépendante pour son approvision-nement en eau potable de cours deau utilisés également pour la production dénergie électrique. «Nous sommes en train détudier ce problème et nous ferons tout pour garantir les infrastructures nécessaires durant ces événements (ndlr: Mondial 2014 de football et JO 2016)» a assuré le ministre brésilien de lIntégration nationale Fernando Bezerra, cité par le quotidien. Ces derniers mois des voix se sont élevées au Brésil pour critiquer les retards pris par le pays dans les travaux du Mondial 2014 et des JO 2016. La dernière en date étant celle de Pelé, le 18 février, inquiet face au risque pour le Brésil de «perdre la face dans sa manière de gérer la Coupe du monde, en particulier sur le plan de la communication et des aéroports».