Selon le Times, quatorze des vingt pensionnaires de Premier League figurent sur une liste noire de l’agence de notation des risques financiers, Riskdisk. Une autre agence de notations de risques sur les crédits, Experian, avait mis à l’index cinq clubs de l’élite en janvier. Pour rassurer les créanciers, le PDG de Riskdisk précise que ce classement ne prédit pas ce qu’un éventuel riche propriétaire peut faire. On ne suppose pas ici qu’un actionnaire puisse injecter de l’argent dans le club. Exemple typique : Chelsea avec Roman Abramovich.
Les bons élèves se comptant presque sur les doigts d’une seule main, ils méritent d’être cités : Arsenal, Blackburn, Manchester United, Tottenham, West Ham et Sunderland. Trois de ces clubs (Arsenal, Manchester United et Sunderland) traînent pourtant de lourdes dettes. Mais l’argent dépensé a été investi dans leur stade respectif.