La marque suisse de vêtements techniques Odlo fait de Martin Fourcade son nouvel ambassadeur mondial.
Au cours des quatre années de collaboration, Martin Fourcade, quintuple champion olympique de biathlon, travaillera avec Odlo « sur de nombreux projets tels que des événements, le développement de produits et diverses campagnes promotionnelles ».
« J’ai eu l’occasion d’en porter les produits tout au long de ma carrière pro, confie l’ex-biathlète. J’ai grandi en voyant mes idoles françaises et norvégiennes gagner en portant du Odlo, donc c’est pour moi une grande fierté de rejoindre cette marque incontournable. Je suis impatient de collaborer avec Odlo et de faire rêver celles et ceux qui s’adonnent, en toute saison, à leur passion pour les sports de nature. »
Ambassadeur de Rossignol durant sa carrière et durant les trois dernières années, Martin Fourcade a pris sa retraite de la compétition en mars 2020 avec un palmarès titanesque : sept fois médaillé aux Jeux Olympiques (dont 5 médailles d’or), vingt-huit podiums aux Championnats du monde (13 médailles d’or), 186 podiums en Coupe du monde et sept fois vainqueur du classement général de la Coupe du monde. Depuis le Français s’adonne à ses diverses passions outdoor. Il consacre son temps à courir, skier et pédaler en montagne. Il préside également la Commission des athlètes pour les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, et se charge de l’organisation du Nordic Festival de rollerski à Annecy (Haute-Savoie).
« C’est le début d’une nouvelle ère pour notre marque, une ère centrée sur notre passion pour l’activité physique, souligne Daniel Eppler, le nouveau PDG d’Odlo. Nous sommes ravis que Martin s’associe à nous pour nous aider à faire découvrir nos vêtements techniques à davantage d’athlètes amateurs ».
La réputation d’Odlo en matière de ski de fond n’est plus à faire. La marque a percé aux JO 1972, à Sapporo (Japon) : pas moins de 25 équipes nationales arboraient alors le premier sous-vêtement technique entièrement synthétique, à une époque où le sponsoring n’existait pas et où les équipes devaient payer elles-mêmes leur matériel !