Le skipper Fabrice Amedeo accueille dans son pool de partenaires d’un nouveau venu, le groupe Alvest, spécialiste des équipements d’assistance en escale.
Alvest annonce son soutien à Fabrice Amedeo et à son projet Ocean Calling. Au travers de la Route du Rhum 2026, la Transat Café l’Or 2025 et 2027 et le Vendée Globe 2028, le skipper ambitionne de naviguer au service de la science et de contribuer à la préservation des océans. Pour Alvest, qui équipe plus de 2.000 aéroports dans le monde, il s’agit d’étendre sa démarche « Leaner & Greener » (plus efficace et plus écologique) aux océans en accompagnant le navigateur dans sa mission environnementale jusqu’au prochain Vendée Globe. L’ambition est de faire converger l’innovation aéroportuaire et la course au large autour d’un objectif commun : préserver notre planète contre la pollution et mieux connaitre nos océans. « Depuis près de trois décennies, nous développons et promouvons des solutions et des technologies permettant à nos clients de réduire massivement les émissions des avions au sol. Avec Ocean Calling, nous étendons cette mission de décarbonisation aux océans », insiste Valentin Schmitt, Président Directeur Général d’Alvest.
Chaque course au large est une opportunité de tester des solutions innovantes et de sensibiliser le public aux enjeux environnementaux. Le bateau de Fabrice Amedeo parcourt en effet des routes sur lesquelles les bateaux scientifiques ne vont pas. Il navigue ainsi avec un capteur de CO2, salinité et température qui ramène des data utiles à une meilleure connaissance des conséquences du réchauffement climatique sur les océans, un capteur de microplastique qui étudie les pollutions anthropiques et enfin un capteur d’ADN environnemental qui permet à Fabrice Amedeo de réaliser un inventaire du vivant sur les routes qu’il emprunte en course avec son voilier. Plusieurs institutions scientifiques sont partenaires de ce projet : Ifremer, Université de Bordeaux, Geomar et Max Planck Institut en Allemagne, Cawthron Institute en Nouvelle Zélande.
Ce nouvel accord vient compléter le pool des partenaires. Un engagement qui ne suffit pas pour se doter d’un nouveau bateau, corollaire indispensable avant le tour du monde de 2028. Si le skipper a réussi à convaincre FDJ United, il est à la recherche d’un co-namer. Wewise stoppant son partenariat à la fin de l’année.