La Coupe Davis a généré en 2008 un impact économique global de 124 millions d’euros, selon une étude commandée par la Fédération internationale de tennis (ITF).
On veut dire aux villes intéressées qu’organiser une rencontre de Coupe Davis est intéressant d’un point de vue financier, indique Juan Margets, vice-président de l’ITF. Les retombées sont excellentes, insiste-t-il, estimant à près de 25 millions d’euros l’impact économique global (nuits d’hôtel, restaurants, rayonnement de la ville…) pour la dernière finale, Espagne-République tchèque, pour la région de Barcelone.
En plus de ces 124 millions d’euros indirects, la Coupe Davis, compétition par équipes disputée par 125 pays dans le monde, a rapporté 35 millions d’euros de recettes commerciales directes en 2008, reversés à l’ITF et aux pays participants.
En comparaison, l’US Open, l’un des quatre tournois du Grand Chelem qui s’étale sur quinze jours, a généré 278 millions d’euros en 2001, l’Open d’Australie, 90 millions en 2004 selon d’autres études présentées par le passé.