Partenaire officiel du tournoi de Roland-Garros pour la troisième année consécutive, le groupe d’électroménager chinois entend renforcer son ancrage en France. Haier mise sur le tennis pour promouvoir sa marque et accroître sa notoriété auprès du grand public.
Haier s’affiche à Roland-Garros comme partenaire privilégié du tournoi du Grand Chelem. Devenu partenaire officiel des Internationaux de France en 2025, le géant chinois de l’électroménager multiplie les activations pour affirmer sa présence. Sur les courts, autour du stade ou sur les réseaux sociaux, la marque numéro un mondial de l’électroménager entend capitaliser sur cet événement planétaire pour renforcer sa visibilité. « Pour cette troisième année, on a mis les bouchées doubles », confie Johanna Rochman, directrice marketing et communication de la marque, lors d’une conférence de presse organisée à l’occasion des Internationaux de France de tennis. En plus des « netbox » positionnées sur les courts de six terrains majeurs, dont Philippe-Chatrier et Suzanne-Lenglen, le logo Haier apparaît également derrière les joueurs à leur entrée. Des emplacements stratégiques, visibles à quasiment chaque plan de caméra. Sur une heure de match en retransmission TV, la marque Haier est visible près de 22 minutes selon l’Etude Nielsen réalisée en 2023. Le plan média (spots TV, série documentaire, parrainage de podcats sportifs…) déployé ambitionne de générer 100 millions de contacts.
Sur place, la marque a développé un nouveau stand situé sur la stratégique allée menant à la place des Mousquetaires, derrière le court Philippe-Chatrier. Un jeu-concours y est organisé, avec à la clé des produits à découvrir et des places à gagner. Attention, on parle ici d’un acteur capable de remplir votre cuisine. Quand Haier s’installe, la marque vient avec des réfrigérateurs multi-portes, des fours avec caméra et IA embarqués, des caves à vin connectées ou encore des lave-linges ! Objectif : se faire connaître davantage. Si Haier est le numéro un mondial dans son domaine, la marque est encore méconnue des consommateurs. « Un Français sur deux nous connaît, nous gagnons un point par année en notoriété assistée », se réjouit Johanna Rochman. Haier (qui rassemble trois autres marques Candy, Hoover et Rosières) est également présent dans la fan zone
« Tribune Concorde », installée place de la Concorde.
Pour la Fédération française de tennis (FFT), ce partenariat avec le groupe chinois, également partenaire de l’Open d’Australie en plus d’une dizaine de tournois dans le monde dont le Rolex Paris Masters, est jugé « gagnant-gagnant ». « Haier bénéficie de Roland-Garros, tout comme nous bénéficions de Haier à travers tout ce que nous faisons ensemble dans le monde en matière de promotion. » Comme en 2024, l’opération « Extraor-dinary Moments with Haier » (« Des moments extraordinaires avec Haier ») a été renouvelée. Il s’agit d’un format social media quotidien qui revient avec émotion sur les temps forts de chaque journée du tournoi.
Présente en France depuis près de 20 ans, la marque, qui a généré plus de 48 milliards d’euros de chiffre d’affaires dans le monde en 2023, a inscrit Roland Garros dans une stratégie globale de notoriété et de valorisation de ses engagements. Car au-delà de la visibilité, Haier entend aussi raconter des histoires. La marque a lancé « Road to Number 1 » (« en route vers le
numéro 1 »), une série documentaire en six épisodes. Les deux premiers volets, consacrés à Ana Ivanovic, ambassadrice mondiale de Haier et ex-n°1 mondiale, et la Française Caroline Garcia, sont disponibles sur YouTube et Instagram. À travers cette série, l’objectif est de révéler la vérité du haut niveau : la réalité brute du quotidien des champions, la rigueur qu’il impose, et la souffrance, souvent invisible, que cela peut engendrer.
« Entre le tennis et Haier, il y a des valeurs communes : la performance, la précision, l’excellence et aussi l’élégance. Haier est une marque premium, reconnue pour son savoir-faire et son design. C’est pourquoi ce partenariat fait particulièrement sens avec Roland-Garros », souligne Johanna Rochman.
