Alltech, un des leaders mondiaux de la nutrition et de la santé animales, sera le partenaire principal des Jeux équestres mondiaux (JEM) 2014, disputés en Normandie.
La société américaine, déjà sponsor titre des JEM 2010 à Lexington, dans l’Etat du Kentucky où se trouve son siège, s’engage pour 10 millions d’euros. Cette 7e édition s’appellera officiellement les Jeux Equestres Mondiaux FEI Alltech 2014 en Normandie. Le montant représente 15 % du budget de l’événement et nous permet ainsi de le consolider, précise Laurent Beauvais, président du Conseil régional de Basse-Normandie, également à la tête du Groupement d’intérêt public (GIP) des JEM 2014. Le modèle normand est totalement différent du modèle américain, avec une forte participation des collectivités locales et de l’Etat. Sur un budget prévisionnel de quelque 64 millions d’euros, la région Basse-Normandie, l’Etat et la ville de Caen participent respectivement pour 15, 10 et 7 millions. Le département du Calvados contribue pour 3 millions.
Pour le monde hippique, les JEM sont plus importants encore que les Jeux olympiques avec près de 800 chevaux attendus en Normandie et près de 900 compétiteurs.
Depuis 2006, Alltech est engagé dans les sports équestres avec notamment en 2010, le premier partenariat-titre des Jeux Equestres Mondiaux. Forts de notre expérience en 2010, nous sommes fiers d’être à nouveau partenaires des Jeux Equestres Mondiaux, confie le Docteur Pearse Lyons, président et fondateur d’Alltech. Nous sommes convaincus que le parrainage d’événements sportifs est essentiel pour tisser des liens étroits avec nos clients et partenaires, poursuit-il. Alltech est présent aux quatre coins du monde. L’Europe est pour nous un marché essentiel et représente le premier continent en termes de chiffre d’affaires. De ce fait, la France et notamment la Normandie, terre de cheval par excellence, représentent pour nous un emplacement stratégique.
La présence d’Alltech est un excellent point de départ vers d’autres partenariats, notamment avec les entreprises normandes avec qui nous sommes déjà en contact, conclut le président du GIP.