L’entreprise vendéenne fabriquant des pains et viennoiseries, qui avait en son temps soutenu une formation cycliste, s’engage aux côtés des organisateurs de la Mini Transat et associe son nom à ce qui reste la plus atypique des grandes courses océaniques.
La course, accessible aux professionnels comme au amateurs, a pour concept de traverser l’Atlantique en monocoque de 6m50. Plus de 2.000 marins se sont essayés à l’épreuve depuis sa création. Lors d’une Mini-Transat, le marin est véritablement seul face à l’océan. L’absence de moyens de communication avec la terre et la taille des bateaux impliquent un retour à l’essentiel. « Une dimension en phase avec La Boulangère qui s’est lancée dans les produits biologiques dès 2000 avec la conviction qu’il était essentiel de rechercher des produits plus respectueux de l’environnement », explique Christophe Aillet, Directeur général de La Boulangère. La Mini-Transat est également le théâtre des innovations, permettant aux constructeurs de bateaux de tester leurs créations.
Cette course se veut également inclusive, permettant à neuf femmes cette année de prendre le départ. Une volonté de la part de la Direction de course qui y trouve un point commun avec la marque La Boulangère. « S’engager auprès d’une épreuve sportive mixte permettant à neuf femmes d’être au départ, est en accord avec le caractère féminin de la marque », ajoute Christophe Aillet. Un engagement appliqué en ayant Charline Picon, championne olympique de planche à voile aux Jeux de Rio, comme marraine de l’édition 2017 (départ de La Rochelle le 1er octobre).