Le président de l’Olympique Lyonnais, Jean-Michel Aulas, peine à trouver un partenaire pour le naming de son nouveau stade. Il serait ravi de signer avec Orange, a-t-il déclaré sur BFM. Si rien n’est encore décidé il confie avoir une faiblesse pour y apposer le nom d’une très grande entreprise française. Orange Arena ?, lui demande-t-on. Ce serait magnifique, répond-il. Mais dans le Journal du Dimanche, un responsable d’Orange ferme la porte : Il prend ses rêves pour des réalités ! Le prix demandé (près de 10 millions par an) est jugé trop élevé. Mais au-delà du montant de l’investissement, le responsable d’Orange pourrait tout aussi bien rappeler l’explication fournie par l’opérateur lorsque son nom avait également été avancé pour le naming du stade Vélodrome à Marseille. On doit garder cette empreinte nationale, expliquait en 2014 le directeur d’Orange Sud-Est, Patrick Figuères. Nous adosser à Marseille en termes de naming pourrait brouiller les interprétations. Pourquoi ne pas le faire, dans ce cas, à Lille, Bordeaux ou Lyon. On doit garder une certaine réserve.