Avant de pouvoir revêtir le maillot vert de Villeurbanne, Tony Parker doit souscrire une police d’assurance couvrant son contrat de quatre ans et de 50 millions de dollars avec les San Antonio Spurs. Contrat suspendu depuis l’entrée en vigueur du lock-out en NBA. Selon L’Equipe, Tony Parker aurait déboursé 190.000 euros (250.000 dollars) afin de couvrir les premiers mois de la saison en Pro A auprès d’un assureur. Soit jusqu’à fin décembre. Dans le cas d’une annulation pure et simple de toute la saison NBA, il devrait payer à nouveau 190.000 euros pour continuer de jouer avec l’ASVEL jusqu’à la fin de la saison. A l’ASVEL, il devra se contenter du minimum syndical pour un joueur professionnel : 1.500 euros par mois.
Le meneur de jeu de l’équipe de France, qui est également directeur des opérations basket de l’Asvel, perçoit encore des revenus pour ses interventions publicitaires. Grâce à ses sponsors personnels (Nike, Ferrero, RMC, BetClic, EA Sports, Tissot et Axe), ses revenus annexes étaient estimés à 3 millions d’euros l’an dernier. Avec la signature de nouveaux contrats (Toupargel et Quick), il devrait percevoir 4 millions d’euros cette année.